Didier Kéi , soi- disant
journaliste, a trouvé le scoop du siècle : le paiement des salaires des
corps habillés, relèverait donc d’un processus de la chasse aux
sorcières ! Ni plus, ni moins que cela.
Même si notre journaliste, pour
se défausser, pourra prétendre qu’il n’a rapporté que les déclarations des
concernés, cela ne fera encore qu’accroître les doutes quant à sa crédibilité. Même sans être journaliste, tout citoyen, désireux de connaître la vérité,
s’intéresserait aux raisons qui ont amené à cette situation. Un vrai
journaliste aurait mené des enquêtes, s’informant auprès des autorités de ces
corps, auprès des Ministères de l’Intérieur, de la Défense, etc. Qu’en est- il
dans son article ? Rien qu’une suite de commentaires glanés ça et là (et
nous sommes en droit de nous interroger sur l’objectivité de cette démarche),
bref, des propos que, même l’homme de la rue répugnerait à faire courir.
Puisque nous devons faire le
travail à la place de Didier Kéi, le paiement des corps habillés main à
main trouve sa raison dans le simple et
seul but de la vraie identification des dites personnes. Le pays a hérité d’une
situation, sans précédent, de désordre absolu, et quoi de plus normal que de
rechercher à établir l’ordre et la rigueur ? Le journaliste de notre Voie
qui n’est habité que de la mauvaise foi, veut faire croire à l’opinion
nationale et internationale, que cela
relève d’une stratégie de tribalisme, mise en place par le Gouvernement et à
l’instigation du Président Ouattara.
Obsession et mauvaise foi. Si
nous devrions parler ici du tribalisme, nous ne pourrions que le chercher du côté
des refondateurs de notre « Voie ». C’est bien ce tribalisme, mis en
place par les refondateurs, comme principe de gestion du pays, qui nous a
conduits au gouffre, et dont l’une des
conséquences est le transfèrement de votre mentor au TPI, et, seul, qui paye la
lourde note de votre tribalisme notoire,
et reconnu de tous ici dans notre pays. La capacité de nuisance des
refondateurs n’est plus à démontrer, tant au niveau national qu’international.
Nous conseillons au sieur Didier Kéi, en quête de sensation forte pour
la vente de son journal, de creuser encore plus, car la raison du paiement de
salaire des corps habillés main à main, n’a pour objectif d’identifier, avec précision, ces corps habillés que paye notre Etat. A
situation exceptionnelle, solution exceptionnelle.
Vous ne pouvez pas apprendre à un
économiste et Banquier rompu aux
systèmes de paiement, ce qu’il doit faire en matière de paiement des corps habillés.
Logiquement ils devraient recevoir leurs
salaires par virement bancaire, comme ce même Ouattara Président avait fait durant 3 ans, à la tête du
Gouvernement en tant que le seul 1er, Premier Ministre de notre cher
père, le Président FHB, paix sur lui.
Vous aviez planifié de déstabiliser notre pays avec vos caciques qui se terrent aujourd’hui
au Ghana, et qui ont des ramifications au sein de l’armée certainement, donc il
convient de procéder à la clarification de la situation.
Peut- être les refondateurs
auraient- ils peur ???
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Nous devons faire la part entre les journaliste et les journaleux .Didier Kei a atteint son objectif.Il veut qu'on parle de lui gratuitement ! C'est une autre forme d'escroquerie politique.
RépondreSupprimerDe toute les façons le président Ouattara n'a rien à apprendre auprès d'un journaleux qui est en crise d'investigation ou du moins d'inspiration.Il ferait mieux publier des articles sur les populations mutilées,maltraité,torturées par les milices organisées et financées par le régime précédant.Il faut dédommager ces populations et décourager à jamais les personnes ayant orchestrées ces tueries.
Aussi il faut comprendre que le pays sort d'une guerre et qu'il décourager les personnes qui constituent un patin pour le développement économique et social