mardi 18 septembre 2012

POLITIQUE Détenue au secret à Odienné, Mme Gbagbo menacée de paralysie

Simone
A la lecture d’une certaine presse qui semble faire florès en CI, on s’aperçoit que nombre de « journalistes » ont choisi de verser dans le sensationnel, au détriment de la presse d’investigation, de la presse d’information. Pour ces « journalistes », les rumeurs et les ragots semblent être leurs sources d’inspiration.

De même, ces « journalistes » ont pris le parti d’occulter, dans leurs livraisons, le sort des victimes innocentes du « gbagboïsme ». C’est un choix que nous pouvons que nous pouvons accepter ou critiquer- et pour notre part, nous le critiquons !-, puisqu’en filigrane, il montre que ces journalistes ont choisi l’impartialité. Il est clair qu’ils ont des intérêts, avoué ou cachés, dans ces prises de position.

Didier Depry, l’un des francs- tireurs de cette engeance, vit hors du temps et de l’espace, et ne connait rien de ce qu’est CI ; nous aimerions l’inviter à faire un tour dans ce pays et de bien se renseigner sur ce que notre pays a vécu sous le règne de leur mentor, Laurent Gbagbo. Le sort des victimes ne semble nullement sa préoccupation.

La réconciliation  voulue par le Président, le Dr Alassane D. Ouattara, entre les Ivoiriens, n’est pas synonyme d’impunité, et ces soit- disant journalistes, à la solde des refondateurs doivent garder cela en esprit.
Ces gens se considèrent toujours comme  accusés à tort ; ils oublient, sciemment, ce que tous ceux qui sont dans les filets de notre justice ont pu faire pour s’y retrouver.

Nous nous demandons avec quel dessein ces fameux journaleux des refondateurs veulent informer l’opinion nationale et internationale sur ce qui se passe vraiment dans notre pays.

Nous voulons rappeler au sieur Didier Depry que la vie de sa Simone Ehivet Gbagbo est  aussi importante que celle de nos concitoyens enlevés à l’affection des leurs, d’autant plus qu’elle doit rendre compte de sa participation à cette entreprise funeste. 

Il serait donc impensable que la justice la laisse mourir à petit feu, comme l’insinue  notre « indigné ». Rien qu’au nom du devoir de savoir que réclament les Ivoiriens, la vie de Mme Gbagbo doit être protégée; elle est une pièce maîtresse dans ce fiasco qui a entraîné la déconfiture de notre pays, et sa part de vérité est prépondérante dans le processus de la réconciliation.

Ces gens ne sont pas prisonniers de  la seule volonté du Président Ouattara qui n’a fait que son devoir, demandant à son Gouvernement de saisir notre Justice pour faire la lumière sur  les exactions et le  hold-up  fragrant orchestrés  contre la volonté du peuple de CI par les refondateurs , lors des dernières élections présidentielles, où la destinée de leur pays a été confiée, par une large majorité, au Dr Alassane D. Ouattara.

Donc arrêtez de nous distraire avec vos mensonges grossiers, et inscrivez-vous dans la voie de la réconciliation, malgré le mal que vous avez fait à ce pays ; nous voulons tous faire un examen de conscience et faire table rase sur le passé pour construire notre avenir, dans la paix et la concorde entre les filles et les fils de notre pays, pour sa reconstruction après sa destruction par votre gestion calamiteuse, durant 10 ans  de pouvoir.

1 commentaire:

  1. Le monde insondable mystère, Seigneur quand comprendras-tu que de pareilles êtres ne devraient pas vivre sur cette planète des humaines ? Il ne doit pas avoir de droit de l'homme à l'égard de ceux qui ne les reconnaissent pas aux autres.Simone Ehvet GBAGBO mérite la réclusion si nous avons du respect à la vie d'un être humain.
    Le Président Ouattara est un homme de paix et de dialogue et un digne fils de l'Afrique.
    Les personnes comme ce Didier Depry font partir de ceux qui continuent de combattre la CI.Car ce ne sont pas seuls ceux qui ont les armes à la main qui combattent .Il y a aussi ceux qui soulèvent les autres par leur plume.
    Pendant que la CI continue de pleur ces filles et fils d'autres mènent des action pouvant inciter à la reprise des hostilités

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